François G. DAUPHIN – Auteur

Une envie… une passion…

Né au Havre en 1963, j’ai grandi entre les Pays‑Bas et la Dordogne, avant de mener une carrière éclectique, de la brasserie familiale au médico‑social. Installé près de Toulouse, lecteur passionné de sagas historiques, je me suis lancé tardivement dans l’écriture avec La Vallée des Destins, une fresque médiévale que je souhaite à la fois intense, humaine et porteuse d’espoir…

Époque : une grande fresque médiévale ancrée au XIIIᵉ et XIVᵉ siècle, au cœur des tensions féodales et des jeux de pouvoir.
Lieu : le Périgord et ses vallées, entre bastides, châteaux et campagnes rudes, inspirés de mes terres d’enfance.
Thèmes : serments, lignées, fidélités et trahisons, avec un fort ancrage humain : destins ordinaires confrontés à une Histoire violente, mais traversée d’espoir.
Nombre de tomes : une saga en 4 volumes prévus, dont deux tomes déjà parus (L’Aube du Loup et L’Écho des Murailles).

« La Vallée des Destins » est une saga historique immersive, ancrée dans la réalité rude et vibrante du Périgord du XIIIᵉ au XIVᵉ siècle. À travers des destins croisés, des luttes de pouvoir, des passions contrariées et les drames du quotidien, j’explore la vie d’un château et de ses habitants, mêlant grandes heures de l’histoire et souvenirs intimes.

Cette fresque polyphonique donne la parole aux puissants comme aux humbles, aux seigneurs comme aux paysans, aux femmes souvent invisibles mais essentielles, à tous ceux que l’histoire officielle a laissés dans l’ombre.

Pour en savoir un peu plus…

… ou un peu trop…

Je suis né le 9 juillet 1963 au Havre, et j’ai grandi aux Pays-Bas, où mon père y a fait sa carrière comme pionnier du programme spatial Ariane. De cette enfance hollandaise, je garde le souvenir d’hivers passés à patiner sur les canaux gelés de Noordwijkerhout et de la mer du Nord déchaînée à Scheveningen, et des vacances en Dordogne, fief de mes grands-parents et de la maison familiale à côté de Villamblard, dans le hameau de Gammareix sur la commune de Beleymas. Des images et des lieux qui nourriront mon imaginaire.

En 1979, je quitte les Pays-Bas pour la Belgique afin d’y suivre durant cinq ans des études d’agronomie. Mais, une grave maladie interrompt mon parcours. Après un an et demi de traitements lourds, je reprends des études à Lille, j’y obtiens un diplôme supérieur en comptabilité pour rejoindre l’entreprise familiale des « Brasseries de Leforest », créée par mon arrière-grand-père. L’aventure s’arrête cependant avec la fermeture anticipée de l’entreprise en 1992.

J’explore alors divers horizons : une année d’études en commerce international, un détour par la Bretagne, puis une administration para-agricole dans le Sud-Est, pour finir dans les télécoms pour l’Europe septentrionale, avant de m’installer à Toulouse, toujours dans les services télécoms, puis enfin, dans l’aéronautique et le spatial. C’est là, à Blagnac, que je rencontre Caroline en 1998. On se marie en 2000 et on accueille notre première fille, Marie-Émilie, en 2001, puis Charlotte en 2006.

On s’est alors installé à Toulouse, puis à Auch, où je prends la direction adjointe d’un organisme patronal. De retour sur Toulouse et après une nouvelle transition professionnelle, j’obtiens à plus de 50 ans un Master II en gestion des entreprises de santé, afin de trouver un peu le sens qui manquait à ma vie. Cette stabilité retrouvée me permet, sur le peu de temps libre, de donner libre cours à ma passion : la lecture, et bientôt… l’écriture.

Lecteur insatiable de sagas historiques, et après une année de tergiversations et une année supplémentaire de recherche et de planification, je me lance la veille de Noël 2022 dans la rédaction de ma saga et de son premier opus, La Vallée des Destins – L’Aube du Loup, inspiré donc par la région de mon enfance, avec le goût du détail historique, mais surtout de la vie vraie, âpre et dure. Nourri de mes lectures fondatrices – Maurice Druon, Ken Follett, et de tous ceux qui ont croisé ma route et que j’ai adoré : Jean d’Aillon, Yves Aubard, Juliette Benzoni, Mireille Calmel, Jean Diwo, Marek Halter, Christian Jacq, Jean-Luc Marchand, Robert Merle, Claude Michelet, Lucinda Riley, Jean-Guy Soumy, etc… avec une mention spéciale pour Umberto Eco, Michel Peyramaure… et les voix et les histoires d’Henri Gouguaud et de Robert Arnaud trainent encore dans ma tête.

L’écriture s’impose donc à moi, au prix de nombreux doutes, mais aussi de joies partagées avec mes proches, mes premiers lecteurs, correcteurs et critiques. Aujourd’hui, je poursuis l’aventure avec un second tome déjà paru, animé par l’envie de continuer à partager mes histoires et d’embarquer mes lecteurs dans de nouvelles épopées. Mais il m’a fallu du temps pour ne pas me contenter d’imiter tous ces maîtres. J’ai écrit, réécrit, jeté, recommencé : la digestion des influences est un chemin long et exigeant. Ma voix s’est forgée dans la tension entre respect et rébellion, tradition et invention.

Assez fier de mon parcours, de mes filles et de mon épouse qui m’accompagnent au quotidien, j’avance avec le sourire, la curiosité intacte et le plaisir de raconter, sans jamais me prendre trop au sérieux. Avec ici, une seconde mention spéciale à mes deux sœurs, Pascale et Anne‑Valérie, re‑liseuses ardentes et correctrices sans tabou, qui traquent avec la même ardeur la virgule fugueuse, le cheval mal sellé et le seigneur anachronique. L’une lit avec le cœur, l’autre avec un œil redoutablement exercé, et toutes deux n’hésitent jamais à me renvoyer mes pages couvertes de remarques au « stylo rouge »… mais toujours avec assez de tendresse et de fous rires pour me donner envie d’en réécrire aussitôt une de plus.

Si j’espère que ces premiers opus seront accueillis par vous, chers lecteurs, avec autant d’enthousiasme et de gourmandise que par mes sœurs. Je rêve surtout de donner à chacun le goût de l’aventure, de la découverte et de l’émotion.

Pour ma part, la vie, comme l’écriture, est avant tout une histoire ambivalente de solitudes, de rencontres, de silences, de surprises… et surtout de petits bonheurs à partager.

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